Real Madrid VS FC Barcelona 1-1 en Liga résumé buts 16/04/2011 avec 1 but de Messi (penalty) et 1 but de Cristiano Ronaldo (penalty) Real vs Barca 1-1 Real Madrid vs Barcelona 16/04/2011 Real Madrid Vs Barcelona 1-1 All Goals - 16.04.2011 HighlightsWatch Real Madrid 1-1 Barcelona - VIDEO tinyurl.com or click to watch directly Real Madrid 1-1 Barcelona tinyurl.com La Liga Premiera DivisionR.Madrid vs Barcelona first goal for Barca الريال مدريد و برشلونه R.Madrid vs Barcelona first goal for Barca الريال مدريد و برشلونه R.Madrid vs ...Real Madryt vs FC Barcelona (1-1) Wszystkie Bramki I pełen skrót z Meczu (16/04/11) **HD** 0-1 Messi 1-1 Ronaldo...

Real Madrid VS FC Barcelona 1-1 en Liga résumé buts 16/04/2011 avec 1 but de Messi (penalty) et 1 but de Cristiano Ronaldo (penalty) Real vs Barca 1-1 Real Madrid vs Barcelona 16/04/2011 Real Madrid Vs Barcelona 1-1 All Goals - 16.04.2011 HighlightsWatch Real Madrid 1-1 Barcelona - VIDEO tinyurl.com or click to watch directly Real Madrid 1-1 Barcelona tinyurl.com La Liga Premiera DivisionR.Madrid vs Barcelona first goal for Barca الريال مدريد و برشلونه R.Madrid vs Barcelona first goal for Barca الريال مدريد و برشلونه R.Madrid vs ...Real Madryt vs FC Barcelona (1-1) Wszystkie Bramki I pełen skrót z Meczu (16/04/11) **HD** 0-1 Messi 1-1 Ronaldo...

Josep Guardiola (entraîneur du FC Barcelone) : «Faire match nul ici me semble être un bon résultat, contre une très grande équipe. Nous sommes contents. Tout peut se passer ici. On aurait même pu perdre. Il y a huit points, avec en plus le goal-average (5-0 à Barcelone, 1-1 à Madrid) à six journées de la fin. Pepe est un joueur qui a beaucoup de présence et d'expérience. Carles Puyol a fait un grand effort. Il a une petite contracture (à la cuisse). Je ne crois pas que ce soit grave et on compte sur lui à l'avenir.»

Mourinho : «C'était un match très équilibré à 11 contre 11, avec une première période sans beaucoup d'occasions. Et après, comme très souvent, à 10 contre 11 c'est devenu pratiquement mission impossible. Contre une équipe qui est la meilleure du monde au niveau de la possession du ballon. Je ne comprends pas pourquoi Daniel Alves n'a pas vu le second carton jaune sur le penalty (transformé par Cristiano Ronaldo). Nous avons très bien joué à 10, nous étions préparés pour jouer à 10. Nous avons réussi à égaliser et presque à gagner. Je reste sur de bonnes sensations. Mais je suis fatigué de préparer les matches au cas où nous nous retrouvons à 10. J'aimerais beaucoup jouer à 11 contre 10 contre le Barça. (Pour la finale de la Coupe, mercredi) Nous n'avons pas à observer le Barça, c'est une équipe que nous connaissons parfaitement. Nous sommes tranquilles. Nous espérons gagner.»

Le premier acte des quatre Clasicos programmés en moins de vingt jours n'a pas été aussi prolifique que la «Manita» (5-0) infligée par Barcelone au Real Madrid le 29 novembre dernier. Mais une nouvelle fois, les champions d'Espagne en titre ont posé d'immenses problèmes à leurs rivaux de la Maison Blanche. Si José Mourinho avait interdit que le gazon de Bernabeu soit tondu en-dessous de trois centimètres afin de ralentir la circulation de balle du FCB, la combine n'a pas vraiment porté ses fruits. Pas plus que la tentative d'intimidation du Special One qui avait refusé de s'exprimer la veille de la rencontre en conférence de presse.

Messi et Ronaldo enfin récompensés... sur penalties !

Avec plus de 70% de possession au coup de sifflet final, le Barça a globalement dominé les débats. Supérieurs techniquement, les protégés de Josep Guardiola ont parfaitement résisté au défi physique imposé par les Merengue. Tel un symbole, Messi (53e s.p.) en a d'ailleurs profité pour débloquer son compteur, sur penalty, face à Mourinho, après dix rencontres infructueuses contre le Portugais. Un fait de match qui a coûté cher au Real avec l'expulsion de Raul Albiol pour une faute grossière sur Villa. Le prodige argentin conserve ainsi, avec 30 unités, une réalisation d'avance sur Ronaldo dans son duel à distance pour le titre de Pichichi.

Car l'attaquant lusitanien (82e) a également fait trembler les filets de Valdés sur penalty, pour son premier but face aux Blaugrana. Avec huit longueurs d'avance sur le Real en tête du Championnat, à six journées du drapeau à damiers, c'est pourtant bel et bien le Barça qui a assuré l'essentiel dans la quête de son 21e titre national. Les Madrilènes attendent désormais les Catalans en finale de la Coupe d'Espagne, mercredi prochain. Une rencontre programmée sept jours avant la double confrontation décisive en demi-finales de Ligue des champions !

«Josep, le Real Madrid est-il plus fort que celui qui s'est lourdement incliné en novembre 2010 à Barcelone ?
Footballistiquement, ils sont meilleurs que lors de la phase aller. Ils sont plus rapides, plus physiques que nous. Ils se connaissent mieux. Ils seront plus difficiles à contrôler. Mais nous essaierons d'imposer notre jeu. Nous sommes différents dans notre manière de jouer. Pour nous créer une occasion, c'est tout un trafic. Eux, ils n'ont besoin que de trois ou quatre secondes. Si nous obtenons un bon résultat, nous ferons un pas de géant pour être de nouveau champions.

La bonne nouvelle est venue de la convocation de Carles Puyol pour le match ?
C'est une surprise. A Donetsk, nous avons reçu la nouvelle que Puyol allait mieux. La douleur a presque disparu. Nous déciderons demain (samedi) s'il joue.

Cela vous paraît-il irrespectueux de ne pas accepter de répondre aux questions des journalistes en conférence de presse (comme l'a fait José Mourinho à Madrid) ?
Je vois où vous voulez en venir... Je n'ai pas besoin de répondre. Ce n'est pas la première fois que le deuxième entraîneur se présente en conférence de presse (...) Ne me posez plus de questions là-dessus s'il vous plaît.»

«Chaque fois qu'il parle, on amplifie tout»

«Chaque fois que le ''Mister'' parle, on amplifie tout, a tenté de justifier Aitor Karanka. Actuellement il ne veut pas qu'on amplifie ses propos et que ce soit lui qui se retrouve à chauffer le match ou à répondre une chose ou une autre. Il préfère être tranquille. Et en plus ce n'est pas la première fois que je fais ça. C'est une manière de travailler.»

Karanka a également affirmé qu'il ne «savait pas» si Mourinho procéderait de la même façon avant les trois autres Clasicos prévus ces trois prochaines semaines : «Ce sont des choses que l'on décide avant les matches. Pour le match de demain (samedi) c'est ce qui a été décidé. On verra pour le prochain match.»

Manchester City in hunt for only realistic trophy this season when they take on treble-chasing rivals Man Utd in FA Cup
Manchester City would ease some of the hurt inflicted on them over the last four decades by Manchester United if they were to win their FA Cup semi-final at Wembley Stadium and end United's treble hopes.
Whoever does come through will start as favourites to win the FA Cup itself on May 14 when they will face the winners of the weekend's other semi-final between Bolton Wanderers and Stoke City.
For different reasons both matches have excited the imagination of fans beyond just the teams involved – Saturday's because of the intense rivalry and significance of the tie to both Manchester clubs, and Sunday's because Bolton and Stoke rarely come so close to glory.
United have won their last seven matches in all competitions and are on a high after beating Chelsea 2-1 on Tuesday for a 3-1 aggregate success to secure a place in the semi-finals of the European Champions League.
United are also seven points clear of Arsenal at the top of the Premier League and there is a possibility they could repeat their Champions League, Premier League and FA Cup treble of 1999 as they have hit form at just the right time.
Although they will be without the suspended Wayne Rooney, Ryan Giggs, 37, has been outstanding in their recent run of victories.
"Our confidence is really high and players are coming back from injury and that's what you want at this stage of the season as there are games every three days," said Giggs.
"The manager will chop and change the team...but we've got 20 players probably competing for 11 places."
Swearing
Unfortunately for United, Rooney, who has returned to form with 10 goals since Feb 1, is unavailable following his swearing incident at West Ham United two weeks ago.
City may also have to make do without the services of former United striker Carlos Tevez, who picked up a hamstring injury on Monday.
His absence could dent their chances of reaching the final for the first time since 1981.
Thirty years ago they lost 3-2 to Tottenham Hotspur in a replay while their last FA Cup success was in 1969 when they beat Leicester City.
Although owner Sheikh Mansour has invested hundreds of millions into the club, City have yet to end their 35-year wait for a major trophy and will have to show a dramatic improvement on their abject display in Monday's 3-0 loss at Liverpool to prevent United rubbing their noses in the dirt again.
While City's wait for major honours has lasted since 1976 when they won the League Cup, Bolton and Stoke have gone even longer without collecting a major piece of silverware.
Stoke, who have been playing in the FA Cup since 1883, have never reached the final. They last reached the semis in 1972 when they lost to Arsenal.
That was also the year they won their only major trophy beating Chelsea in the League Cup final.
Bolton have won the FA Cup four times, the last of those triumphs coming in 1958 when Nat Lofthouse, their greatest ever player who died earlier this year, scored both goals when they beat Manchester United 2-0 at Wembley.
Both sides, sitting comfortably in mid-table, have beaten each other in the Premier League this season, and Bolton manager Owen Coyle says the idea of winning the Cup as a tribute to Lofthouse, has taken hold in the town.
"It would be nice if that comes to fruition but I think there's a lot of tough obstacles in the way for that to happen," he said.
"We're more than up for the challenge and we will do everything we can to reach the final against a very good Stoke side."

Vainqueur (5-1) à l'aller contre le Shakhtar Donetsk, le FC Barcelone aura du mal à ne pas penser à la proximité du Clasico contre le Real Madrid (samedi) lors de son déplacement en Ukraine (20h45). Lucescu prétend qu'il est "impossible de qualifier". Mais Guardiola implore ses hommes d'être à fond.



LA SITUATION : exploit obligatoire pour le Shakhtar

Le Shakhtar, c'était la bonne surprise de cette Ligue des champions. Une équipe joueuse, qui s'appuyait sur ses quatre flèches brésiliennes (Jadson, Douglas Costa, Luiz Adriano et Willian) pour damer le pion aux grands d'Europe, Arsenal et Roma en tête. Mais cette équipe paie cash ses erreurs de jeunesse, comme ce fut le cas la semaine dernière au Camp Nou (1-5) ou en phase de poule sur le terrain d'Arsenal (1-5). Il doit battre le Barça par quatre buts d'écart pour se qualifier...

CE QU'ILS EN DISENT : "Impossible"

Mircea Lucescu, entraîneur du Shakhtar Donetsk : "Nous savons que la qualification est impossible, mais nous allons jouer pour gagner le match, avec au moins le niveau de jeu des 20 premières minutes à l'aller, quand on aurait pu marquer trois buts. Nous voulons montrer qu'on est une équipe qui a sa place dans cette compétition. (...) Et j'espère que les Barcelonais continueront à jouer à ce niveau et qu'ils gagneront la Ligue des champions".

Vainqueur (5-1) à l'aller contre le Shakhtar Donetsk, le FC Barcelone aura du mal à ne pas penser à la proximité du Clasico. - 2 Pep Guardiola, entraîneur de Barcelone : "On va jouer comme d'habitude. L'idée est de marquer un ou deux buts et de gagner. Nous devons être très prudents car nous jouons contre une bonne équipe. Depuis qu'on est ensemble avec l'équipe, on a toujours joué sérieusement chaque match sans penser à ce qui allait venir. On a gagné une manche, il en manque une autre. Dans le sport tout peut arriver. Chaque match est une préparation pour le suivant. Le prochain match est toujours le plus important, et le prochain l'est suffisamment. (...) Si on ne faisait pas tout pour être une nouvelle fois en demi-finale de la compétition reine, on se tromperait."

QUELQUES REFERENCES : Trois cas dans l'histoire

Dos au mur, le Shakhtar doit réaliser ce que seules trois équipes ont réussi en coupes d'Europe : remonter un handicap de quatre buts (Real Madrid en 1986 contre Mönchengladbach, Leixões en 1962, Partizan Belgrade en 1985). Il faudra aussi que les Ukrainiens gardent leur cage inviolée contre les Barcelonais, qui ont marqué au moins un but depuis leur 17 derniers matches de C1. Barcelone n'a plus perdu par quatre buts d'écart depuis le 10 mai 2007 à Getafe en demi-finale retour de la Copa del Rey (0-4).

UNE BONNE RAISON DE REGARDER LE MATCH :

Vainqueur (5-1) à l'aller contre le Shakhtar Donetsk, le FC Barcelone aura du mal à ne pas penser à la proximité du Clasico. - 3 Elle tient en un mot : Classico. Si le suspense ne sera pas forcément au rendez-vous, vu l'ampleur du score à l'aller, cette rencontre à Donetsk servira de préparation à Barcelone, qui pourrait affronter le Real Madrid quatre fois en un mois, entre la 32e journée de Liga samedi, la finale de la Coupe du roi mercredi 20 et une éventuelle demi-finale de Ligue des champions, avec l'aller le 26 avril et le retour le 4 mai.


LES CHIFFRES : Barcelone aime les quarts

1 : Depuis qu'il a intégré la Donbass Arena en septembre 2009, le Shakhtar Donetsk n'a perdu qu'un seul match dans son stade. En Ligue des champions, les Ukrainiens ont remporté les quatre matches qu'ils ont joué à domicile cette saison, encaissant un seul but contre Arsenal (2-1), et sont invaincus depuis douze matches européens, pour neuf 9 victoires.

10 : Le FC Barcelone a remporté 10 des 12 quarts de finale de C1 qu'il a joué, soit 83%. Les Espagnols ont été éliminés à ce stade de la compétition à deux reprises : contre la Juventus en 2002-2003 (1-1, 1-2) et le PSG en 1994-1995 (1-1, 1-2).

50 : C'est le pourcentage de victoires du Barça en Ukraine. En huit rencontres dans ce pays de l'Est de l'Europe, le bilan des Catalans est globalement positif, avec cinq victoires, un nul et trois défaites.

Les équipes probables : Un Barça A' ?

Vainqueur (5-1) à l'aller contre le Shakhtar Donetsk, le FC Barcelone aura du mal à ne pas penser à la proximité du Clasico. - 4 Privé de nombreux cadres, puisque Puyol (genou), Abidal (convalescence), Bojan (genou) et Iniesta (suspendu) sont absents, Pep Guardiola pourrait être tenté de tester certains jeunes en Ukraine, notamment Fontas en défense centrale et Thiago au milieu. En face, Mircea Lucescu est privé de Dmitro Chygrynskyi, qui est parti se faire soigner en France. L'incertitude plane au-dessus de Darijo Srna. Touché à une cuisse, le capitaine du Shakhtar n'a pu jouer que douze minutes contre Obolon (1-0) samedi en Championnat.

DONETSK : Pyatov - Srna (ou Ischenko), Krivtsov, Rakitski, Rat - Mkhitaryan, Hübschman - Douglas costa, Jadson, Willian - Luiz Adriano.

FC BARCELONE : Valdes - D. Alves, Piqué, Busquets (ou Fontas), Adriano - Xavi, Thiago (ou Busquets), Masherano - Pedro, Villa, Messi.

Lionel Messi a inscrit un doublé samedi, ce qui a porté son total à 47 buts toutes compétitions confondues cette saison. C'est également le nombre de buts que Ronaldo avait marqué lors de la saison 1996/1997 avec le FC Barcelone, le meilleur total en une saison pour un joueur du Barça.
Lionel Messi va battre un nouveau record. Muet depuis 4 semaines, l'international albiceleste s'est réveillé samedi soir, lors de la victoire du FC Barcelone face à Almeria (3-1). Auteur d'un doublé, dont un but sur pénalty, le double Ballon d'Or a porté son total à 47 buts toutes compétitions confondues cette saison. Il égale ainsi, comme la saison dernière où son total de réalisations s'était arrêté à 47, le record du nombre de buts inscrits en une saison par un joueur du Barça. Ce record, c'est un certain Ronaldo qui le détient... pour l'instant.
Il Fenomeno, qui vient de prendre sa retraite, avait établi ce record lors de sa seule et unique saison disputée sous le maillot blaugrana, en 1996/1997. L'ancien international auriverde avait alors inscrit 47 buts en 49 matches. L'Argentin en est pour l'instant à 45 rencontres disputées cette saison et pourrait encore en jouer 12 si la formation de Pep Guardiola se hisse jusqu'en finale de la Ligue des Champions. Il semble donc plus que probable que le record de Ronaldo va tomber avant la fin du mois de mai.